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Nous sommes coincés ici pour un long moment. Le quatrième jour de bombardements! Avancez - tuer le mien, un pas en arrière - tirer votre propre.
Mais le mouvement est nécessaire. M. Melhar sorti son fidèle Ruby, avec un sourire prédateur nous regardait et d'attente pour une pause entre perdre tours, a couru vers l'avant.
- Alle, alle, alle !!
Gaumont voyager foule remplit le silence. Près de Monsieur couru Vinn'e avec une mitrailleuse, haletant à chaque pas. Son visage était couvert d'une épaisse couche de boue, une moustache noire en quelque sorte se sortir de sous le casque bleu. Derrière lui, un peu plus de temps pour nous, a couru un sapeur. Hung avec des grenades et une pelle à la main, il a trébuché sur les remparts. Je appris, et il - il était notre vieil ami (l'ancien dans tous les sens) M. Donal.
Soudain, un bombardement infernal continue. Gauche et droite a commencé à éclater coquilles, tandis que les tranchées ennemies, il ya seulement trois étapes. Éclats d'ébullition frappé la course en avant de moi la main, l'en pointillés naturel et est tombé au sol. Dieu miséricordieux, sauver nos âmes.
Dernière bond en avant. Plus d'étape - et nous voici dans les tranchées. Il est un peu vide - choc troupes allemandes se retirèrent et versez activement leurs tranchées de tir. Mais la reconnaissance aérienne a indiqué qu'il ya plusieurs transition en toute sécurité dans les positions ennemies. M. Melhar nous a conduit à travers eux.
Et voici la rencontre avec l'ennemi. Mon fusil produit balle après balle, mais ils sont tous allés dans le parapet. Notre propre commandant bravement couru dans chaque tranchée, la pulvérisation ennemi feu nourri de son fusil. Oui, sans discussion contre cela.
Ear balle siffla. Je me suis retourné - en vue de notre position sur nos flèches publié Monsieur Medrik. Son fusil sait glisser, de sorte que le montant de officiers ennemis diminué. Il a entendu les explosions de grenades à main - nous arrivons! Oh, juste pour briser les canons de l'ennemi.
Je perdis ma baïonnette. Je devais prendre le fusil d'un des camarades tombés au combat et combattre. Les troupes allemandes peine nous ont donné leurs tranchées, mais nous ne pouvions pas arrêter quoi que ce soit. Nous allons de l'avant! Nous allons gagner!
Se profile la trémie hors de lui, pas un instant cesser le feu, le tir de deux mitrailleuses.
- Trouver où de consolider et de les fumer dehors! - Cria Vinn'e. Voici Medrik arrivé. Puis les Allemands ont longtemps pour s'asseoir dans une boîte en béton. Melhar agita la main et le reste de l'équipe a commencé à traiter le bunker sur la droite. Les tranchées sont plus, seuls de petits monticules de terre pour nous sauver du feu ennemi. Je jetai une grenade par la fenêtre visant bunker. Tout en vain - l'écart est trop petit, la grenade a rebondi sur le béton et est tombé dans la boue, déversant son explosion. Nous avons déjà glissé près, il a sorti son Melhar et lancé une grenade par la fenêtre habilement. Il y avait une explosion sourde du canon de la trémie est tombé, il a entendu des cris des blessés. Nous avons couru pour terminer le reste.
Tourné seconde de recharge. Et maintenant, tout est propre. tics corporels baïonnette allemande percé le silence. Soudain, un cri de l'extérieur:
- Strip! Porter une protection!
Je frénétiquement la main dans son sac, pensant exercices. Il ne se voit attaques au gaz, mais ont beaucoup entendu. Je ne veux pas d'obtenir le nombre de décès dus à cette infection. Je tirai le masque des doigts et a tiré sur sa tête. Il n'a pas eu lieu. Il portait seulement ses yeux, le nez et la bouche étaient ouverts. Je me suis senti une bouche sèche. Déjà empoisonné? .. Je frénétiquement tiré vers le bas. Ne porte pas!
- Ahh !! Aidez-Moi! Ça ne fonctionne pas !! Die!
À mon cri couru Melhar. Il arracha mon masque de tête.
- Killer! Donne-le!
Je essayé de l'attraper, accroché à la main en caoutchouc épargne. Mais il était plus rapide. Perforé, il m'a ramené à la normale, puis la main m'a frappé mon casque. Et il a tiré le masque. Je fis plusieurs respirations tranchants dans une rangée. Vivre ..
Nous avons attendu pour une attaque au gaz tandis que dans le bunker. Mais vous ne pouvez pas rester ici indéfiniment - l'ennemi est proche. Vinn'e levé le fusil par la fenêtre et a couru vers l'avant. Dans le bunker, nous avons commencé à tirer et à notre canonnier est tombé au sol. Il a été tué, il me semblait. Mais pas - il est simplement une arme commode dans la terre battue et le feu lourd ouvert.
Rien dans ce gaz ne soit pas visible. Nous repoussé l'attaque et nous sommes allés à travers le compteur de gaz. Les Allemands ont rapidement trouvé des renforts et nous faisons seulement une douzaine de marches, est tombé dans la boue. Le gaz se dissipe lentement. Je priai le vent de face - ces paires de chlore déjà fatigués.
Je ne sais pas combien de temps nous étions là, tirant nonchalamment. Une heure ou deux. Mais d'abord venus le grondement, puis le cliquetis du fer. Je levai les yeux et vu que la dernière chose que je voudrais voir. Surmonter les tranchées et des monticules à notre hulk roulé vers le réservoir inexorable. Ce combat machine à tuer, une mort rapide et notre désespoir. Monsieur Melhar quelque chose crié dans mon oreille, mais je a été hypnotisé par la vue de cette machine. Près rampé Donal et lancé une grenade sur un côté de la cuve. Le souffle à travers un nuage de poussière et il tranquillement roulé vers l'avant. Canons fissurés, de l'infanterie, appuyées par des chars de transport, ne nous permettent pas de se rapprocher. Monsieur Melhar crié à notre sapeur, mais il ne leva les mains - une grenade et des balles de l'ennemi ne sont pas prises. Près de notre tireur a crié - une balle a déchiré sa main. Donal tendit la main pour aider, aussi, a été frappé par une balle. Un réservoir roulé plus proche.
Quelque part, je perdis de vue du commandant. Que dois-je faire? Après tout, je suis juste un pion dans cette bataille, il est difficile de prendre des décisions dans le combat, sans instructions ou des ordres. La voiture a été approche, pas beaucoup de temps. Que puis-je faire pour l'arrêter? A proximité se trouve un sac de grenades Donal. Je saisis plusieurs et les pressai contre sa poitrine. Déjà vous pouvez voir le réservoir. Il passera au-dessus de moi, je vois. Il ne reste plus qu'à tirer la goupille et attendre.
Nous avons donné leur vie pour leur pays. Nos amis sont en train de mourir, et la mère ne vont pas attendre fils. Pour un maigre deux centimètres sur la carte papier.
